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Témoignages des finalistes 2024 du concours Ma Thèse en 180 secondes

Le 27 juin. 2025
Un an après avoir participé au concours Ma Thèse en 180 secondes, huit finalistes de l’édition 2024 reviennent sur leur parcours : leurs sources de motivation, leur perception des formations et les perspectives qui se sont ouvertes à eux après l’événement.
Témoignages des finalistes 2024 du concours Ma Thèse en 180 secondes
© Institut Polytechnique de Paris, Corinne Hameau

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Pour Aubin Parmentier, de l’Institut Photovoltaïque d’Île-de-France de l'École polytechnique, Ma Thèse en 180 secondes est avant tout " une belle aventure humaine : elle permet de rencontrer des doctorants issus de domaines très différents du sien."

Ce concours constitue également un excellent exercice de communication. Comme le souligne Marie Sigalon, doctorante au LSI de l'École polytechnique, il offre l’opportunité d’apprendre à transmettre un message de manière simple et claire à un public non spécialiste.

L’un des principaux défis reste la gestion du stress, reconnaît Antoine Gamet, doctorant au LSO de l'École polytechnique : " Mais grâce aux formations préalables, on parvient à le surmonter."

Enfin, cette expérience renforce la confiance des jeunes chercheurs, comme l’explique Jérôme Kowalski, jeune chercheur au sein de l'équipe projet INRIA/X - SIMBIOTX : « Être chercheur, c’est aussi savoir vulgariser et transmettre son savoir. Grâce à #MT180, j’ai gagné en assurance pour partager mes connaissances avec le grand public. »

 

Partie 2/2

Pour Constantin Philippenko, issu du CMPA de l'Ecole polytechnique Ma Thèse en 180 secondes a été un véritable tremplin. " Le concours m’a offert une belle visibilité dans le monde industriel. Récemment, j’ai même été contacté par une start-up."

Gabriel Verhnes, doctorant au sein de l'Unité d'Économie Appliquée de l'ENSTA, y a découvert une véritable vocation pour la vulgarisation scientifique : "Ce concours m’a donné le goût de transmettre mes travaux au plus grand nombre, une démarche essentielle pour un économiste, surtout dans le contexte actuel."

Pour Haifa Taoum, doctorante au LPICM de l'Ecole polytechnique, l’expérience a été déterminante sur le plan personnel : elle lui a permis de gagner en confiance à l’oral et de mieux capter l'attention du public.

Quant à Elie Kadoche, jeune chercheur du LTCI, un laboratoire de Télécom Paris, il souligne l’impact du concours sur sa trajectoire professionnelle : Ma Thèse en 180 secondes lui a offert une belle visibilité et lui a ouvert de nombreuses portes.

Finalistes IP Paris du concours #MT180 2024

Aubin Parmentier
Institut photovoltaïque d’Île-de-France (IPVF), une unité mixte de recherche CNRS, École polytechnique, ENSCP, IPVF SAS, Institut Polytechnique de Paris 

Antoine Gamet 
Laboratoire Synthèse Organique (LSO), une unité mixte de recherche CNRS, ENSTA Paris, École polytechnique, Institut Polytechnique de Paris 

Constantin Philippenko
Centre de Mathématiques Appliquées (CMAP), une unité mixte de recherche CNRS, Inria, École polytechnique, Institut Polytechnique de Paris 

Elie Kadoche
Laboratoire Traitement et Communication de l’Information (LTCI), un laboratoire de recherche Télécom Paris, Institut Polytechnique de Paris  

Gabriel Verhnes
Unité d’Économie Appliquée (UEA), un laboratoire ENSTA Paris, Institut Polytechnique de Paris 

Haifa Taoum
Laboratoire de physique des interfaces et couches minces (LPICM), une unité mixte de recherche CNRS, École polytechnique, Institut Polytechnique de Paris 

Jérôme Kowalski
INRIA, École polytechnique, Institut Polytechnique de Paris, SIMBIOTX 

Marie Sigalon
Laboratoire des Solides Irradiés (LSI), une unité mixte de recherche CEA, CNRS, École polytechnique, Institut Polytechnique de Paris