IP Paris, membre de l’Alliance universitaire EuroTech
L’Institut Polytechnique de Paris (IP Paris) a officiellement remplacé le 1er janvier 2024 l’un de ses membres fondateurs, l’École polytechnique, au sein de l’Alliance EuroTech.
Cette évolution permet ainsi à ENSTA Paris, ENSAE Paris, Télécom Paris, Télécom SudParis, les quatre autres prestigieuses écoles d’ingénieurs françaises qui constituent l’Institut, d’en devenir elles aussi des partenaires actifs.
« L’Alliance permet de combiner les expertises complémentaires de ses partenaires pour réaliser des projets multi-échelles à fort impact pour la société et l’industrie au niveau international. EuroTech s’engage auprès des différents acteurs sociétaux pour mettre en avant les opportunités offertes par la science et la technologie », explique Thierry Coulhon, président du conseil d’administration de l’Institut Polytechnique de Paris par intérim.
Au sein de l’Alliance, IP Paris œuvre aux côtés de l'université technique du Danemark (DTU), l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL), l'université de technologie d'Eindhoven (TU/e), l’université technique de Munich (TUM) et le Technion - Institut de technologie d'Israël.
L’objectif de ces six grandes universités de science et de technologie est de bâtir ensemble une Europe forte et durable, souveraine et résiliente. Elles élaborent d'ambitieux projets de recherche à l'échelle européenne dans des domaines prioritaires tels que l'intelligence artificielle, le développement durable, la santé ou la bioingénierie.
IP Paris étant un pionnier de la collaboration interuniversitaire, son arrivée offre de nouvelles ressources au réseau européen pour relever ces grands défis sociétaux.
« IP Paris possède actuellement six centres interdisciplinaires dédiés à la transition énergétique, l’IA, l’ingénierie biomédicale, les matériaux innovants, la défense, et les arts et sciences. Tous s’inscrivent parfaitement dans les objectifs d’EuroTech », relève Thierry Coulhon.
IP Paris regroupe 8.400 étudiants dont 41% d’internationaux, 32 laboratoires de recherche, un millier de doctorants, 1.400 personnels d’enseignement et de recherche.