IP Paris en force à VivaTech 2024
Du 22 au 25 mai, VivaTech réunit à Paris les startups européennes les plus prometteuses. Parmi elles, 28 pépites de l’Institut Polytechnique de Paris. La plupart ont été accompagnées par l’un de ses trois incubateurs : X-Up à Palaiseau sur le campus de l’École polytechnique, Incubateur Télécom Paris à Paris et Station F, et IMT-Starter sur le campus de TélécomSudParis à Evry. Les autres ont été fondées par des alumni des cinq écoles membres de l’Institut : École polytechnique, ENSTA Paris, ENSAE Paris, Télécom Paris et Télécom SudParis.
« Ces trois incubateurs accompagnent des startups innovantes et Deeptech, issues de tous horizons. Ils répondent à des problématiques ciblées et constituent un maillon essentiel du dispositif d’innovation d’IP Paris. A travers eux, les entrepreneurs accèdent à l’excellence de l’écosystème d’IP Paris », explique Bruno Cattan, Directeur Entrepreneuriat et Innovation de l’École Polytechnique et responsable du Comité Innovation de l’Institut Polytechnique de Paris.
« Cet engagement d’IP Paris en faveur de l’innovation et de l’entrepreneuriat illustre la volonté de l’Institut de contribuer au succès de France2030 et du plan Deeptech », ajoute Bruno Cattan.
Quelques chiffres résument la puissance d’IP Paris en matière d’innovation : plus d’une centaine de startups accompagnées par an, 21 brevets et logiciels déposés en 2023, plus d’un milliard d’euros levés par nos alumnis l’an dernier, 30% des startups du Next40 fondées par des anciens d’IP Paris, neuf des 27 licornes françaises.
Les 28 startups qui seront présentes à VivaTech ont investi l’un des secteurs choisis pour l’édition 2024 par VivaTech, parmi lesquels AI, Climat Tech, Mobility, Deeptech, Future Societies, Business, Creators’Economy, Gaming and Esports.
VivaTech leur donne l’opportunité de présenter leurs solutions aux grands défis contemporains et dialoguer avec les investisseurs, acteurs de la société civile, politiques, chercheurs ou encore étudiants. « Nous sommes là pour les appuyer et aider à la résolution de ces questions », ajoute Bruno Cattan.